• Ma journée débuta comme toute les autres journée de ce début d'automne, mon réveille sonna à sis heurs, je me suis levée je suis allée a la douche j'ai prit mon petit déjeuner, après cela ma grand mère c'est réveillée. On a un peu discuter, elle m'a demandée comment ça aller et tout, -oui j'habitais chez mes grands parents- puis je suis allée m'habiller, un jeans et le haut de l'uniforme des filles, un coup de brosse, j'attachais mes cheveux en queue de cheval basse, un instant je me suis arrêter, fixant la photo a l'intérieur d'un cadre sur ma commode, je la prit et fit un baiser sur la vitre froide.

    - Et voilà un jour nouveau ou vous n'êtes pas la... vous me manquez...

    Puis, je mis mon sac a bandoulière sur l'une de mes épaules et partie sur la route de mon bus. Je mis mes écouteurs rouge, activa ma musique et perdis mon regards le long du chemin, Linkin Park hurlait dans mes oreilles alors que j'avançais, le soleil perçait a peine le ciel de ses rayons doré.

    Le moment de toute ma matinée qui m'effrayait le plus arriva, je devais traverser la route, les voitures ne s'arrêtait pas pour une petite lycéenne comme moi, j’arrachai mes écouteurs et regardai droit devant moi, pas un seul bruit, encore moins le ronronnement d'un moteur. Alors sans crainte j'entrepris de me rendre de l'autre côtés, et je réussis sans le moindre effort, je m'assis, remettant mes écouteurs ou Linkin park s'égosillait toujours. D'autre personnes arrivèrent, aucun ado ne se risqua a s'asseoir sur le même banc que moi. Je lançais de rapide coup d'œil au portail ouvert sur un chemin entouré de hais. J'avais l'impression qu'un monstre allait en surgir en un instant et qu'il m'emporterait comme il les avait emporté.

    Le bus arriva, je me leva, sortit ma carte et attendit qu'il ouvre les portes, j'y pénétra sans égard pour ceux qui me fixaient, je regardais un instant une place que j'aimais beaucoup, prise malheureusement, je redirigea mon regard vers mon sac fouillant pour en sortir mon porte-monnaie, je ne mis pas longtemps a trouver, le BIP de la machine m'apprit que ma carte était bel et bien activée, en relevant la tête, la fille assise a la place près de la fenêtre que j'aime tant avait fait ces valises, alors, sans scrupule je pris place, m'accoudant au rebord de la fenêtre, regardant l'horizon, un ciel gris, un trait jaune s'élevait juste a quelque mettre des grands bâtiments, le lever du soleil. Après une dizaine de minutes le bus arriva a mon arrêt, je sortis, suivit de loin par mes "camarades".

    Arrivait devant mon grand casier j'y fit le code , simple, 3760, aucune signification spécial, juste une suite de chiffres. J'y  mis mes affaires de l'après midi , je ramassa comme a mon habitude le papier plié en deux, M. Anonyme avait encore frappé a ma porte. Enfin, c'était un surnom que je lui donner, car depuis une semaine -ou plus- il m'écrivait des messages anonyme en les glissant dans mon casier, la plupart du temps il y avait un endroit indiquer pour que moi même je lui rende un message, se que je faisais, c'était bien le moment que je préférais de la journée ! "Salut, j'espère que ton week end c'est bien passer ça m'a manquer de pas lire ta jolie écriture! Bonne journée!" Je commençais a m'habituer a ces petits mots tendre, même si au fond je n'en avait guère envie... Je pris un bout de papier en le déchirent d'un petit carnet, j'inscris dessus une réponse " salut, mon week end a était comme tout les autres, ennuyeux... j'aimerais savoir qui tu es... s'il te plait... si non je ne te répondrais plus, alors réfléchit bien." Je savais bien sur que j'étais incapable de ne pas lui répondre... la sonnerie envahit le lycée, je voyais les autres commençaient a courir dans les couloirs, m'évitant le plus que possible... je m'en foutais. Je mis ma réponse au dessus de mon casier, mais je n'étais pas bien grande et du me hisser sur la pointes des pieds pour réussir a le faire glisser.

    La petite opération finit, je me rendis en classe très tentée d'attendre l'inconnu mais j'avais tout essayer je n'avais jamais réussi a le prendre la main dans le sac... c'était dommage mais dans un sens c'était bien... j'avais cours d'SVT, pour une des très rare occasion j'étais a côté de quelqu'un, une fille, elle ne me parlait bien entendue pas, mais la plupart du temps nous devions faire des TP ensemble.

    Drôle d'ambiance sérieux... Le prof nous rabâcha un truc sur les chromosomes, que des trucs qu'on savait déjà, enfin que je savais déjà.

    L'un des deux mecs les plus populaires du lycée fit son entré, le roi des sportif, Gabriel, chef de l'équipe de basket de notre établissement... c'était le genre a vous laisser sans voix, beau, un regard de tueur au sang chaud, un grand blond aux yeux marron, des muscles saillant sous son uniforme. Il faisait déjà partit du club de basket et en plus pratiquait de la boxe, c'était le genre séducteur qui drague tout se qui bouge et surtout qui charme tout se qui bouge. J'avais beau me dire que ce mec était pas adapté à ma situation, il était trop beau, a chaque fois que je le voyais je pensais a lui... Impossible de ne pas le faire... Un jour j'avais même souhaité que se soit lui le mystérieux inconnu qui m'envoyait des mots, mais il serait plus probable que se soit un plouc de première que se beau gosse souriant. Alors j'essayais de me le sortir de la tête, quand le deuxième mec le plus populaire fit son entré, il n'était pas populaire comme le premier, il est beau, bien battit, grand, des cheveux vachement châtains, des yeux aussi noir qu'une nuit sans lune, il ne parlait pas, enfin qu'avec ces amis, il ne rougit pas et reste impassible, la seule fois ou je l'ai vue rire, c'était avec sa bande de potes... Il fait partie du club de boxe, et passait souvent a la bibliothèque, c'est ce qui déplaisait aux filles, se n'est pas le genre bad boy séducteur mais plutôt beau gosse ténébreux, il n'était pas doux quand il s'agissait de dire non a une fille trop entreprenante.

    En opposition a se que vous pensez, Gab' et moi étions amis d'enfance, mais a notre entré au collège tout à changer, il a commençait a arrêter de me parler pour finir, depuis l'année dernière a m'éviter... Je pense que si je ne le connaissais pas aussi intimement, il ne m'aurait pas autant séduite, puis Alexia et Jeanne firent leurs entré. Et toute la classe fut là, et oui, tout les élèves populaires dans la même classe, ainsi que la plupart des joueurs de basket... les autres étaient comme qui dirait écrasé par l'invisibilité... C'était triste pour eux quand même. 

    - Vous êtes tous en retard ! S'exclama le prof.

    - Ouais je sais, je devais m'occuper de quelque chose. Répondit Gabriel en lançant un clin d'œil a Jeanne, suivit d'un léchage de babines et d'un geste pas très respectueux. 

    - Toi si tu la ferme pas tu vas souffrir ! S'énerva Alexia.

    L'autre, le deuxième mec, se dirigea vers sa chaise et s'assit, sans égard ni aux autres ni au prof. 

    - Laisse tomber Alex tu peux rien me faire ! 

    - Tu veux qu'on pari? 

    - Quand tu veux.

    Ça se voyait qu'ils rigolaient, Jeanne pouffa timidement et les deux autres se serrèrent la mains avec tout les deux un sourires complice accroché au visage.

    - Vous avez pas bientôt fini la?

    - Oh le vieux tu nous emmerde ! Souffla Gabriel.

    - Comment tu ose !? Je... j'en parlerais au proviseur!

    - Te gène pas!

    Il s'affala sur sa chaise mettant les pieds sur son bureau, se mec était un gros con, mais il pouvait être vraiment sympa... son père étant le proviseur, il ne risquait rien. Il savait quand même être tendre, par exemple, quand une fille était sérieuse, qu'elle pensait en être totalement amoureuse, il veillait a se qu'elle ne souffre pas de sa réaction. Même s'il était un tombeur et qu'il sortait avec les plus belles filles, celle qu'il n'arrivait pas a atteindre, c'était Jeanne et Alexia, mais ils restaient bon amis, même si Alexia se permettait de l'avertir quand il allait trop loin... amicalement bien sur! Le cours reprit, même si Gab' ne loupait pas une occasion de faire tourner le prof en bourrique. Et un instant, je croisa sont regard, il me sourit, enfin je crois, puis détourna les yeux, c'était hallucinant.

    Le cour prit fin, je réfléchissais encore et toujours a se qu'il venait de se passer. C'était vraiment bizarre, je finis par me convaincre qu'il regardait derrière moi, malgré qu'il n'y est personne... les autres cours furent tout aussi ennuyant, puis vint la pause de midi, je me sentais revivre! Je rejoignis la cantine, prit un plateau, un self, pratique, je pris un petit pot en plastique plein de salade, un morceau de pain et une pomme, malheureusement je reste une fille très maladroite, et en me retournant, je fonça sans le vouloir dans quelqu'un... La galère, cette personne n'était autre que Jeanne, je lui était tombe dessus... la honte, sans attendre une seconde de plus je me redressa, sans rien prendre, en m'excusant, je quitta la cantine me répétant dans ma tête "merde merde merde merde" l'horreur totale... Sérieux, une fois loin du réfectoire je me laissa tomber dans l'un des carré d'herbes fraiche surplombé pas un grand cerisier qui, en automne était rouge et marron... Dans un sens j'étais mieux ici, a essayer de me convaincre naïvement que je n'avais pas percuté la fille la plus aimée du lycée, mon ventre réclamait un petit truc a manger, mais moi je n'avais aucune envie de retournais là-bas... 

    - Alors ma petite Julie, on ne pense pas a manger ? Me dis une voix que je reconnus comme celle de la concierge.

    Je me redressa en position assise et la fixa avec un grand sourire, je n'avais peut être pas d'amis au seins des étudiant, mais le personnel m'appréciait pas mal... elle me lança quelque chose que je réussi a recevoir sans trop d'effort, une pomme.

    - Ah ! Merci beaucoup ! Ça me fait trop plaisirs que tu es pensée a moi ! 

    - Il faut bien, même toi tu n'y pense pas ! Aller, je dois aller laver les toilettes des filles, je te dis a se soir !

    - Ok ! 

    Le soir, juste après mes cours, j'allais aider a ranger tout les livres, il y en avait tellement... et la bibliothèque me tenait tellement a cœur que je leurs donnais des coups de mains autant de fois que possible! Et puis les cours reprirent, la sonnerie retentit, et je me rendis dans ma classe, je passais mon temps a regarder tantôt Jeanne, tantôt Gabriel.

     

    Voila, fin du premier chapitre...   j'espère qu'il vous a plu !                              

    -Devil nana-


    6 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique